Elle est voluptueuse. Ses seins imitent la guimauve, ils la sentent aussi. Les pointes de ses doux cheveux blonds câlinent ses fesses bombées. Ses doigts, d’une élégance infinie, glissent mielleusement sous son téton saillant. Elle a les jambes d’une déesse antique ; longues, moelleuses et délicates. Ses yeux, bleu océan, clignent comme ceux des majestueux félins. Sa bouche pulpeuse et lisse a la teinte de la pêche. Ses joues sont potelées comme celles d’un bébé. Son cou est séduisant, j’ai envie de l’envelopper de baisers. Ses cuisses se fendent et me laissent contempler sa vulve. Elle m’aguiche. Je ne peux lutter. Sa féminité est chaste, je le sais. Elle n’en est que plus captivante. Ses yeux me font dévier. Ma virginale déesse se mord la lèvre inférieure. Son corps tout entier me torture. Je retiens ses bras avec force. Elle se raidit. J’agrippe son ventre avec mes griffes pour la maintenir. Mes lèvres gercées, presque érectiles, s’écrasent sur son clitoris. Elle crie, hurle, veut se débarrasser de mon emprise. Sa cyprine est merveilleuse, elle recouvre mon visage. Je mordille ses petites lèvres gorgées de sang. Ses membres ripostent avec agressivité. Je me redresse et serre dans ma main son cou affriolant. Sa bouche est déformée, son regard est imprégné d’effroi. Elle a perdu sa blancheur, son épiderme est rouge comme brulé au fer. Je fourre mes doigts crochus dans son intérieur. Malgré sa stupeur, elle s’abreuve de plaisir. J’accélère, je m’accroche à la paroi supérieure de son vagin, je le bourre ardemment. Brusquement, son fluide arrose ma poitrine. Elle se déverse littéralement sur ma peau ardente. Quelques gouttes ont la chance d’atterrir sur ma langue. Je me jette brutalement sur sa vulve pour récupérer la moindre perle de ce délectable élixir.