Madame la caissière,
Je suis passée à la caisse numéro 1, le lundi 19 septembre 2016 à 15h32, du magasin de la chaîne Carrefour où vous travaillez.
Votre attitude m’a mise mal à l’aise quand vous avez saisi avec grande fermeté la boîte en carton de 100 mouchoirs en papier de la marque Lotus à 0.02€ la pièce. Je vous prierai Madame, de ne pas déverser votre colère sur cette boîte de mouchoirs en papier de la marque Lotus qui vous rappelle une certaine et évidente rupture avec votre petit ami, devant les clients. De plus, j’ai constaté que vous avez soupiré en pesant mon sachet de deux courgettes provenant d’ Espagne à 1.33€ le kilogramme. Je vous prierai Madame, de ne pas exprimer votre mécontentement face à vos ébats dépravés en compagnie de deux hommes après votre douloureuse rupture. Il en sera de même pour le panier de 6 pêches provenant du sud de la France à 8.12€ le kilogramme, que j’ai acheté dans votre supérette le jour de l’incident. J’ai également remarqué que vous avez replacé une mèche de cheveux derrière l’oreille droite pendant que vous cherchiez le code barre du saucisson sec de 170 grammes de la marque Cochonou à 17.35€ le kilogramme. Encore une fois, il est inadmissible, sur son lieu de travail et pendant son service, de faire part à la clientèle de vos états d’âme. Les personnes à qui vous devez dévotion et joie de vivre, ne doivent pas être témoin de la déception que vous avez évidemment ressentie la vieille, devant le sexe d’un de vos partenaires, de taille peu satisfaisante. Je vous prierai Madame, de bien devoir cesser ces agissements intolérables à l’encontre de vos clients, sous peine d’en informer la direction qui, je l’espère, prendra les mesures nécessaires.
Je vous prie Madame, d’agréer mes sincères salutations.
Nadine DE FITTE DE SOUCY